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« Âge de Fer », « Âge sombre » ou « Fin des temps », notre époque a été qualifiée par les diverses religions comme la période où les vérités spirituelles sont délaissées par la majorité des hommes au profit d’un individualisme et d’un matérialisme toujours grandissants.
Soutenue par ses réalisations technologiques, la science moderne apparaît comme la source de vérité de facto pour la majorité de nos contemporains. Son seul recours à la raison et à des données empiriques lui donne un air d’objectivité qui lui a pratiquement conféré une autorité quasi incontestable.
La perle précieuse (al-Durra al-Fâkhira) est un des ouvrages islamiques abordant la question de nos fins dernières. Ecrite par Ghazâlî, le célèbre sûfî du 12e siècle, elle offre lavantage, par rapport à des textes de même nature et écrits dauteurs différents, de se présenter comme un récit continu. Elle entame la description de ce fantastique cheminement en partant de la séparation de lâme davec le corps pour aboutir après un périple parfois terrible, à la comparution finale du Jugement dernier, dogme que lIslam partage avec les deux autres monothéismes .
Le respect des Ancêtres morts à qui l’on se rattache, la solidarité avec les vivants, qui sont tous des parcelles d’un même grand être social, éloignent le Chinois de toute recherche de particularisation. Ainsi le veut l’enseignement traditionnel, auquel nul esprit n’échappe, et dont chacun porte l’empreinte, d’autant plus forte et plus accusée, qu’il a travaillé davantage, et que l’étude de l’héritage intellectuel ancestral l’a fait plus savant.
Mâ Ânandamayî est l’une des plus grandes saintes hindoues du XXe siècle. Mais tout en étant ancrée dans l’hindouisme, sa spiritualité était parfaitement universelle. C’est pourquoi le rayonnement spirituel de Mâ toucha non seulement des hindous, mais aussi de très nombreux bouddhistes, chrétiens et musulmans.
Pour plus d’1,5 milliard de musulmans, les enseignements du Prophète Muḥammad représentent une source fondamentale orientant leur pratique et nourrissant leur foi. L’héritage religieux et spirituel du Prophète qui se transmit d’abord oralement fut très tôt collecté et mis par écrit : c’est ce qui deviendra le corpus du Hadith.
Cet ouvrage se veut un manuel de soufisme pour l’époque contemporaine, destiné avant tout à ceux qui cheminent sur cette voie. D’où l’insistance de l’auteur sur la réalisation spirituelle de « l’Ici et Maintenant ».
Le présent ouvrage est une épître dont le destinataire n’est autre qu’Ibn ʿArabî lui-même. Le shaykh akbar aborde dans ce texte d’une grande beauté, écrit en prose rimée, l’une des questions les plus délicates du soufisme : l’union sans confusion entre l’humain et le divin.
Ce petit ouvrage au titre énigmatique est bien plus qu’une étude de la doctrine de la certitude telle que les exégètes classiques ont pu l’extraire des enseignements du Coran.
En tant que voie initiatique, le soufisme assure la transmission et la perpétuation de la grâce prophétique en islam. Il permet ainsi à cette spiritualité de demeurer vivante et lui évite le dessèchement qui est inévitable lorsque la transmission initiatique est interrompue.
Il s’agit d’un traité final d’Ibn Arabî, connu sous le titre “La Sagesses des Prophètes”. C’est chef d’œuvre de la littérature mondiale : par l’élévation suprême de sa pensée, la rigueur de ses développements, la spontanéité et la concision de son Style.
Il s’agit d’un traité final d’Ibn Arabî, connu sous le titre “La Sagesses des Prophètes”. C’est chef d’œuvre de la littérature mondiale : par l’élévation suprême de sa pensée, la rigueur de ses développements, la spontanéité et la concision de son Style.
